Catégories : FETICHISMES au pluriel
il y a 3 ans
Je préparais l'accueil d'un colloque qui devait avoir lieu dans ma ville, et j'avais pratiquement fini les préparatifs : il me fallait passer voir à l'hôtel si tout était prêt pour recevoir les participants. On m'avait dit qu'une femme serait à l'accueil pour faire le point avec moi, vu que c'est elle qui ferait les inscriptions et le suivi qualité pendant le colloque quand moi je serai chargé du suivi des séances. Je n'avais jamais travaillé avec Karine Moonight et je dois reconnaître que je suis toujours effrayé de devoir travailler avec quelqu'un que je ne connais pas. Enfin, tendu, mais curieux aussi ,tant il est fréquent que je sois fasciné par les femmes.
A la banque de l'hôtel, l'hôtesse me dit que quelqu'un m'attend dans un salon à côté, et elle a un grand sourire en me le disant, presque coquin. J'entre dans la partie salon, un peu en retrait du hall d'accueil : des murs aux couleurs chaudes, des lumières douces, des fauteuils et canapés aménagés en petits coins de rencontre avec des petites tables dans chacun de ces coins. Premier regard, et je ne vois personne, puis là c'est comme s'il n'y avait plus qu'elle : dans un endroit discret, elle est là, - ce ne peut être qu'elle !-, brune avec des cheveux qui tombent sur ses épaules jusqu'à la moitié des bras, une peau mate, un corps charnu, une robe noire laissant apparaître le bout des épaules nues, mais aussi des jambes avec des bas sombres et les cuisses aux trois-quart visibles. Une femme au regard qui commence à regarder vers moi et m'attire comme une commande impérieuse. Je m'approche; nous nous fixons du regard; cependant elle ne s'est pas arrêtée de boire son verre en un geste suspendu mais qui semble si naturel. Me voilà debout devant elle, lui demandant si elle est bien la correspondante avec qui je dois travailler. Dans un sourire pétillant, accompagné d'un regard malicieux, elle me répond qu'elle a cette joie-là, me connaissant de réputation.
Je n'ose plus bouger et contemple ce visage à la peau sombre éclairé par la chaleur des lumières de la pièce : je suis immobilisé dans un temps suspendu, je reste sans voix et là, son visage devient plus dur, son regard me fixe sans ciller : elle n'a quasiment pas bougé, et me voilà fouillé par ses yeux qui vont jusqu'au fond de moi ! Au bout d'un moment je baisse le regard qui tombe sur la vue de ses escarpins, noirs eux aussi, et là ma vue se trouble. J'essaie de balbutier quelques mots, je commence à dégouliner de sueur, je me sens perdu. Elle reste imperturbable, calme, et d'une voix douce mais n'admettant aucune objection : "Et si vous alliez me chercher un autre verre de whisky à l'accueil, nous pourrions ensuite faire connaissance".
Mes jambes qui flanchent et ont du mal à me porter font un effort surhumain et pendant que je lui dis : "bien sur, tout de suite Madame !", je vais en titubant commander son verre. L'hôtesse pense que c'est pour moi et me le donne/ Je ne songe même pas à commander pour moi, et je repars avec le verre que je viens poser sur la table basse de salon qui est devant Karine M.
Elle est posément assise dans un canapé cuir confortable, un avant-bras posé sur un coussin cuir et l'autre sur le dossier qu'elle a pris à son côté ! D'un signe de la main elle m'intime de m'assoir en face d'elle. Je pose à peine le rebord de mes fesses sur le siège, appuyé sur mes jambes. Et elle commence à me parler, avec simplicité et clarté de ce qu'elle a préparé et compte mettre en oeuvre. Je la sens à l'aise dans son propos durant lequel elle me regarde en souriant, alors que mes yeux passe de sa poitrine visiblement forte même si la robe n'est pas moulante, à ses hanches assez amples laissant deviner des fesses à damner les saints du paradis, et puis au bout des jambes ces escarpins à talons aiguilles qui semblent me faire de l'oeil.
"Vu l'intérêt que vous portez à mes propos, je pense que vous me faites pleine confiance, n'est-ce pas ?" Et elle suspend son discours, se tourne complètement en face de moi. Le sourire enjôleur vient comme un soleil qui m'illumine, et elle baisse son regard vers ses escarpins (mon regard fait pareil) : "Si tu es docile comme je le pense, tu auras le droit de les lécher, mais d'abord lève-toi et approche toi de moi". Le passage au tutoiement me semble normal, évident et j'obéis, avec un malaise énorme car mon sexe commence à bander de plus en plus. Et en effet au fur et à mesure que je m'approche d'elle, le tissu de mon pantalon est tendu par une bosse dont je rougis.
Elle me fixe à nouveau et le sourire s'est fait énigmatique, mi moqueur mi sévère : "Oui, tu es un soumis ! Je l'ai senti dès que tu t'es présenté sans même arriver à me dire bonjour clairement ! Un soumis honteux, mais je vais t'aider à en devenir fier ! Nous verrons si tu sauras te montrer digne de l'intérêt que je veux bien t'accorder."
Me voilà à deux pas d'elle et elle tend la main pour me pousser à pivoter de sorte que je lui tourne le dos : elle soulève ma veste et se met à palper mes fesses comme si c'était naturel. le tisu de mon jean serré épouse bien les contours des mes demi-lunes qu'elle palpe par caresses insistantes ou à pleine main. Puis elle me retourne face à elle et soupèse mes bourses : "Es-tu prêt à devenir mon jouet, mon objet ? Tu devras me faire confiance et m'obéir" Mon coeur bat la chamade, je n'ai plus rien de sec tant je suis en nage, sinon ma bouche de laquelle sort en balbutiement un faible "Oui Madame". Elle me dit ; "Le veux-tu ? Je veux l'entendre clairement de ta bouche . Après tu ne pourras plus revenir en arrière !". Moi, un peu plus fort ; "Oui Maîtresse, je vous remercie de bien vouloir faire de moi votre soumis". "Oh, mais on dirait que ce garçon connaît les usages ; un cochon qui va avoir des choses à me confesser". Et là, elle se redresse tenant toujours mes couilles en main à travers le jean. "Maintenant tu te mets à genoux pour baiser mes chaussures en signe de dévotion". C'est comme si je n'attendais que ça ; je me prosterne immédiatement pour poser mes lèvres sur une puis l'autre chaussure.
L'instant semble durer, je ne sais plus. Elle me relève, se retourne pour ramasser ses affaires, et m'intime de la suivre. Là j'ai les yeux rivés sur ses fesses bien épanouies et mon sexe continue à se durcir.
A l'accueil elle demande à l'hôtesse les clés de la suite qi lu est destinée pour le temps du colloque, et commande un repas plateau avec du vin, du pain et de l'eau à servir pour l'heure du repas en chambre. Le regard de l'hôtesse me fait flipper, et quand elle demande ce que je mangerai, Madame Karine M. réplique que ce sera une salade et une pomme pour commencer mon régime. Je ne sais plus où me mettre.
Encore plus quand elle se tourne vers moi, et m dit : "Un bon serviteur porte les affaires de sa Maîtresse !" et me met dans la main sa serviette contenant ses dossiers et son sac. L'hôtesse ne retient pas son rire et j'ai l'impression qu'elle porte un regard envieux sur le toupet décomplexé de ma si récente Maîtresse.
Maintenant me voilà dans l'ascenseur, les mains prises par les affaires de ma Maîtresse. Elle me remet la main entre les jambes pour bien assurer sa prise et de l'autre main elle vient me prendre un téton à travers la chemise et le pince tout en me fixant des yeux d'une façon si impérieuse que je comprend qu'aucun son ne doit sortir de ma bouche. Et ça dure un long moment avant que je comprenne qu'elle a bloqué l'ascenseur pour prendre son temps. Quand il repart elle ne lâche pas sa prise. Nous arrivons quand même dans un couloir, vide, et elle me pousse en pelotant mes fesses.
Quand nous entrons dans la suite, je dois poser son sac et les dossiers sur une table. Et d'un mot sec elle exige que je m'effeuille devant elle pendant qu'elle s'installe dans un fauteuil, me regardant de façon méditative et distante, hautaine.
Une fois que je suis nu, elle me demande de rester debout au milieu de la pièce, jambes écartées, mains derrière la tête, une position de présentation que je devrais avoir désormais quand je me trouverai en sa présence.
"Il faut que je vérifie la qualité mon soumis" proclame t elle en se levant. Passant derrière moi elle se laque contre moi de sorte que je sens la chaleur de son corps; que j'ai ses seins volumineux qui s'écrasent sur mon dos pendant que de ses ongles elle laboure lentement de stries mon ventre , mon torse puis elle me tord les pinte de seins et là je crie, ce qui la fait rire d'un rire de gorge jouissif. Puis elle me met un doigt dans la bouche tout en me penchant en avant et m'écartant les fesses de l'autre main, voyageant dans mon sillon fessier avant de venir introduire le doigt mouillé en poussant l'entrée de mon anus . Je gémis, elle enfonce tout ce qu'elle peut puis joue à faire coulisser son doigt ce qui me procure une sensation d'excitation et de petite douleur mêlées. Mais surtout je me sens humilié. Elle le sent et me dit : "Tu es à moi. Tu es mon jouet dont je possède les orifices. Je veux faire de toi ma petite pute. Tu as de jolies petites fesses, et je te prendrai ton petit cul". Elle essaie un deuxième doigt mais l'élasticité n'est pas encore assez souple.
Retournant s'assoir, elle me demande d'aller chercher une poubelle et de me masturber devant elle au dessus. Tout le temps où je me masturbe tout prêt d'elle elle me donne le tempo, plus vite, plus lent... Au bout d'un moment je sens que mes genoux tremblent, mes jambes flanchent et quand je dis que je vais jouir elle me fait cesser, avant de me faire reprendre... Plusieurs fois de suite elle me fait refaire ce mouvement et cette montée vers la jouissance devient une épreuve. Puis à un moment, elle m'intime l'ordre de cracher mon jus, qui se répand en coulées dans la poubelle et un peu à côté tant les jets successifs sont puissants d'une bandaison qui durait depuis que je l'avais vue.
"Tu comprends maintenant quel absence totale d'intérêt je peux avoir pour ton plaisir : seul le mien compte le mien et celui des personnes à qui je te prêterai !" Et une larme d'humiliation coule sur le bord de mes joues. Elle me demande d'évacuer cette poubelle loin de son regard et de nettoyer de la langue mes "cochonneries".
"Maintenant, j'ai du travail : enlève mes chaussures délicatement et lèche-moi les pieds. Ton rôle c'est de servir mon bien-être, de me masser et me lécher" A genoux, j'enlève ses escarpins avec dévotion, et je dois les lécher pour qu'ils luisent bien avant de las poser, puis d'entreprendre les service des pieds dont l'odeur où se lient les émanations du cuir et celles de la sueur vient m'enchanter. Avant de commencer ma tâche de ma langue, je dois l'aider à enlever ses bas mais elle m'interdit bien de lever le regard.
Je ne sais combien cela a duré : elle lisait, je léchait et massait un pied pendant que l'autre jouait à se promener sur mon corps nu, ou se posait sur mon cou pour me river à la tâche. J'étais ainsi, quand quelqu'un a toqué à la porte. Et Maîtresse Karine appuie bien sur mon coup pour que je ne bronche pas et que je continue à lui lécher le pied en cours. "Entrez" crie-t-elle. " Ah merci, posez le plateau sur la table. ..." Je sens un silence interrogateur posé sur la scène que nous donnons à voir". J'entends alors la voix de l'hôtesse de l'accueil : "J'ai préféré venir moi-même vous servir le plateau, et je ne regrette pas car c'est époustouflant. J'avais entendu parler de la domination, mais lui vous l'avez plié en un rien de temps !". "Il débute plutôt bien, je crois qu'il est de la race des vrais soumis. Vous voulez l'essayer ?". "Pas pendant le service ! mais je dois avouer que son cul est mignon. Je finis bientôt et sans vouloir vous presser, je peux repasser quand vous aurez fin de manger. Ca correspond à la fin de mon service" "Parfait ! A tout à l'heure alors, mais ne partez pas sans lui avoir claqué les fesses puisqu'elles vous plaisent... Toi, relèves ton cul pour l'offrir à la dame". Je cambre mon dos, je relève mes fesses, et je sens deux mains qui tapent sur chacune de mes fesses, en alternance 5 fois pour chaque fesses. "Mmhh quel plaisir !" dit elle de façon gourmande. Pris d'un élan rapide de la situation, j'ouvre la bouche pour dire "Merci Madame !" et là elles éclatent toutes les deux de rire.
Ma soirée ne fait que commencer
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